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Pozycja L’influence des petites et moyennes entreprises au développement économique de la République Démocratique du Congo(Wydawnictwo Uniwersytetu Rzeszowskiego, 2016) Kamba-Kibatshi, MarcelDepuis de décenies, la République démocratique du Congo (RDC), dans son processus de développement très souvent favorisait l’entreprise publique c’est-à-dire de l’Etat au détriment de l’entreprise privée. C’est seulement plus tard et cela vers la fin des années 90 du Vingtième siècle qu’au regard des contre performances enregistrées par les entreprises de l’Etat, le pouvoir public a accordé un intérêt à la promotion de l’initiative privée particulièrement des petites et moyennes entreprises (PME), en les accordant des diminutions douanières et fiscales pour leur apparition. Le développement économique des pays en voie de développement comme la République démocratique du Congo nécessite la présence de plusieurs PME et PMI à cause des avantages économiques et sociaux qu’elles présentent notamment: la création d’emplois, la réduction de la pauvreté, la mise en valeur des matières premières locales, l’assurance de l’autosuffisance alimentaire, etc. Alors depuis quelques années des nombreux pays prennent de plus en plus conscience de l’importance décisive des PME sur le développement et la diversification de la production industrielle ainsi que la réalisation des objectifs fondamentaux de développement. A l’avènement vers la fin des années quatre-vingt-dix (XXème siècle) du processus de démocratisation de la République démocratique du Congo, nous avons assisté malheureusement aux pillages qui ont causé la destruction de l’outil économique du pays, en accentuant ainsi le chômage qui était déjà à un niveau inquiétant et réduisant davantage le pouvoir d’achat de la population. Ce dernier temps, nous assistons à un phénomène nettement contradictoire qui est celui de l’apparition des petites et moyennes entreprises (PME)/ petites et moyennes industries (PMI) à travers toute l’entendue du territoire du pays et cela pourrait s’expliquer par le souci de la population qui voit s’amenuiser son pouvoir d’achat avec la disparation des emplois, de créer un moyen de substitution pour sa survie.Pozycja La demande de monnaie en République Démocratique du Congo dans les années 2004–2012(Wydawnictwo Uniwersytetu Rzeszowskiego, 2015) Kamba-Kibatshi, MarcelUn pays qui ne contrôle pas sa monnaie et son système financier, ne contrôle pas son économie et en conséquence sa sécurité économique. La monnaie est un outil important pour la gestion macroéconomique d’un pays. Une politique monétaire crédible ne sera menée au Congo que quand d'une part il ne sera pas rétabli la confiance au gouvernement sur toute l’étendue du pays c’est-àdire sa gouvernance ne sera pas reconnue, d'autre part le franc congolais n’aura pas été reconnue dans l'économie nationale comme une monnaie crédible et légitime dans tout le pays en conformité avec la Constitution actuelle du pays. Pour le réaliser qu'il faudra penser à faire des réformes dans tous les secteurs économiques du pays. La monnaie est le signe le plus visible de la performance économique d'un pays. Malheureusement, la République Démocratique du Congo depuis ces dernières décennies, a connu une expérience inflationniste sans précédent. Dans les 15 dernières années, le taux d'inflation en RDC est élevé à 104% par an, ce qui a entraîné la perte de crédibilité monétaire dans le pays. Le taux de change mis en place ou introduit en 1998 montre que 1 franc congolais par rapport au dollar américain était de 1 franc congolais, ie. 100 CDF = 0,3333 USD, ce qui signifiait que quant quelqu’un voulait acheter 1 dollar américain, il devrait payer 3 francs congolais, mais maintenant la monnaie congolaise est devenu sans valeur parce que maintenant pour 1 dollar américain vous devez payer 940 francs congolais. L’évaluation que l’on a fait pendant ces quinze dernières années est un constat d’échec car le franc d’aujourd’hui ne vaut plus rien par rapport à celui que le pays avait introduit en juin 1998. Dans ce cas la réforme monétaire était indispensable pour marquer le grand changement dans la gestion du secteur public et inspirer ainsi la confiance dans l’avenir du pays.