Przeglądanie według Temat "Kongijski Bank Centralny"
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Pozycja Impact du commerce international sur le développement économique de la République Démocratique du Congo(Wydawnictwo Uniwersytetu Rzeszowskiego, 2016) Kamba-Kibatshi, MarcelLa politique monétaire est l'action par laquelle l'autorité monétaire, en générale la banque centrale agit sur l'offre de monnaie dans le but de remplir son objectif de stabilité des prix. Elle tâche également d'atteindre les autres objectifs de la politique monétaire, qualifié de triangle Keynésien : la croissance, le plein emploi, l'équilibre extérieur. La politique monétaire se distingue de la politique budgétaire. La politique monétaire peut avoir pour objectif de maintenir le taux de change de la monnaie nationale avec une monnaie. La fixité des taux de change peut-être obtenue par la banque centrale en vendant et en achetant des devises au jour pour atteindre le taux objectif. L'objectif déclare de la politique monétaire que mène la Banque Centrale au Congo est d'obtenir et de maintenir la stabilité des prix à travers l'ajustement de l'offre de monnaie à la demande de monnaie. Pour mettre en oeuvre celle-ci, la Banque Centrale du Congo détermine le cadre de pilotage à travers lequel la politique monétaire sera mise en oeuvre au cours de l'année. A partir de ce cadre, elle décide la mesure dans laquelle il convient de réserver ou d'assouplir les conditions monétaires. En effet, il ressort des analyses effectuées sur l'évolution de la conjoncture en République Démocratique du Congo au cours de ces trois dernières décennies (entre 1970 et 2000), que les épisodes de dépréciations de la monnaie nationale (Zaïre, Nouveau Zaïre et/ou Franc congolais) correspondent très souvent à une accélération du rythme de formation des prix intérieurs, de même que les périodes de fortes tensions inflationnistes se caractérisent également par des pertes de vitesse de la monnaie nationale par rapport aux devises étrangères. Fort de ces considérations, nous posons les questions suivantes : - Est-ce que le Franc congolais est stable ? - Quelles sont les politiques de la BCC pour soutenir la stabilité du Franc congolais ? Les réponses à ces questions constituent l'objet même de nos investigations tout au long de la présente étude. A travers l'article on a analysé les difficultés de la politique monétaire dans le contexte de la dollarisation complète de système bancaire et les faiblesses institutionnelles. L'analyse empirique confirme que la Banque centrale en République Démocratique du Congo est en mesure de contrôler la quasi-inflation, malgré qu’on pourrait avoir une réaction rapide des chocs inflationnistes. Après avoir analysé les avantages et les inconvénients des différents régimes de taux de change, on peut affirmer que le renforcement du cadre actuel de la politique monétaire reste la meilleure solution, étant donné que le pays est exposé aux nombreuses échanges de monnaies étrangères (change de devises). L'augmentation de l'exigence de réserve semble contredire d'autres mesures prises par la banque centrale. Le taux d'intérêt est conçu pour réguler la liquidité dans le système financier et influe sur le développement de l'activité économique. Il est l'un des principaux outils des autorités monétaires pour influencer l'octroi de prêts et de l'inflation de modulation dans le pays.Pozycja Réforme du secteur minier en République Démocratique du Congo dans le contexte des problèmes de gouvernance et les perspectives du développement économique(Wydawnictwo Uniwersytetu Rzeszowskiego, 2016) Kamba-Kibatshi, MarcelLa République Démocratique du Congo (RDC) est incroyablement riche en ressources naturelles. C’est pourquoi nous affirmons, que par son importance géostratégique, la République démocratique du Congo (RDC) est un pays qui décide ou conditionne la stabilité et le développement de l’Afrique centrale et de la région des Grands Lacs. Katanga l’une de ses riches provinces, étant reconnu comme pays minier, elle est le siège de nombreuses exploitations de métaux les plus variés répartis dans une multitude de mines et de carrières. Le secteur minier congolais est placé au centre de la politique du développement qui se base sur la relance macroéconomique, par un recours massif aux investissements étrangers, et cela pour permettre au pays de «lutter contre la pauvreté». Initiée par plusieurs institutions financières internationales, une réforme du secteur minier a été intégrée aux programmes de développements appliqués en République Démocratique du Congo et s’est traduite comme une libéralisation du secteur minier. À ce titre, notre travail c’est-à-dire le présent article propose une réflexion sur le processus d’élaboration de la réforme du secteur minier et les financements de sa mise en oeuvre dans une perspective plus globale de reconstruction du pays. Longtemps critiquée et déshonorée pour ses effets sociaux et environnementaux dévastateurs, la mine artisanale se répand rapidement dans une grande partie du monde, notamment en Afrique. Pour un certain nombre de pays et de communautés internationales, elle représente une voie vers le développement et la croissance économique. L'exploitation artisanale dans les mines de la République Démocratique du Congo et en particulier de la province du Katanga est un marché self -service et anarchique, à la limite de l'informel et duquel le pays ne tire en réalité aucun profit substantiel. Le secteur minier de ce pays et surtout du Katanga a traditionnellement été occupé par la société de l’État «la Gécamines», et celle-ci a le monopole pour toutes les exploitations industrielles des minerais. Reconnu pour détenir une diversité incroyable de minerais en importantes quantités, «ce pays recèlerait 70 % des réserves mondiales de cobalt, 20 % du cuivre, 45 % du diamant, ainsi qu’un potentiel important en or, uranium et manganèse». La République Démocratique du Congo est ainsi le producteur le plus important de cobalt au monde à part l’Australie.